Hier, pour le premier janvier, je suis allée voir, avec une amie intime (important pour se jeter des regards en coin et rire aux mêmes choses), Les filles du docteur March (Little Women en V.O, une version moins critiquée de ce titre, car pourquoi un livre dont le père est absent devrait-il s’appeler autrement que Quatre soeurs ou la Maison de Concord ou Les soeurs March ?). Outre que c’est un excellent film de Noël, c’est aussi un film qui compte pour moi suffisamment pour justifier cet aparté spécialisé, parce qu’il parle de choses très importantes : l’importance de la vie quotidienne et de ses récits, l’écriture féminine et ses sources, les liens du sang et ceux que crée l’affection, l’ambition, la façon dont on la nourrit et dont on l’étouffe, bref, un film qui a rebondi en moi et m’a fait rire, pleurer et ressortir épuisée comme d’un marathon.
Petites femmes
Petites femmes
Petites femmes
Hier, pour le premier janvier, je suis allée voir, avec une amie intime (important pour se jeter des regards en coin et rire aux mêmes choses), Les filles du docteur March (Little Women en V.O, une version moins critiquée de ce titre, car pourquoi un livre dont le père est absent devrait-il s’appeler autrement que Quatre soeurs ou la Maison de Concord ou Les soeurs March ?). Outre que c’est un excellent film de Noël, c’est aussi un film qui compte pour moi suffisamment pour justifier cet aparté spécialisé, parce qu’il parle de choses très importantes : l’importance de la vie quotidienne et de ses récits, l’écriture féminine et ses sources, les liens du sang et ceux que crée l’affection, l’ambition, la façon dont on la nourrit et dont on l’étouffe, bref, un film qui a rebondi en moi et m’a fait rire, pleurer et ressortir épuisée comme d’un marathon.